BARBÈS, LITTLE ALGÉRIE
Un film de Hassan Guerrar

Synopsis
Malek, la quarantaine, célibataire, vient d’emménager à Montmartre et accueille bientôt chez lui son neveu Ryiad fraîchement arrivé d’Algérie. Ensemble ils découvrent Barbès, le quartier de la communauté algérienne, très vivant, malgré la crise sanitaire en cours. Ses rencontres avec les figures locales vont permettre à Malek de retrouver une part de lui qu’il avait enfouie, et de se réconcilier avec ses origines.
Fiche technique
Genre : Comédie dramatique
Réalisé par : Hassan Guerrar
Écrit par : Hassan Guerrar, Rachid Benzine, Audrey Diwan et Peter Dourountzis
Avec : Sofiane Zermani, Khalil Gharbia, Khaled Benaissa, Adila Bendimerad, Eye Haïdara et Clotilde Courau
Producteurs : Marie Tauzia (East Films)
Thibault Gast et Matthias Weber (24 25 Films)
Patrick Gimenez (Chelifilms)
Avec la participation de : Netflix, France 3 Cinéma, Sofitvciné 11
Avec le soutien de : la Région Île-de-France et du CNC
Distribution : Jour2Fête
Ventes internationales : Goodfellas
Sortie : 16 Octobre 2024
Sélections
Festival du Film Francophone d'Angoulême (En compétition)
Les Arcs Film Festival (Séance spéciale)
Festival 2 Valenciennes (Hors compétition)
Revue de presse
"« Barbès en trois mots ? Chaleureux, fraternel, beau. » Ce quartier de la capitale est au coeur du film dans lequel il incarne Malek, qui vient d'emménager à Paris. On s'est baladé avec Sofiane Zermani sur les lieux du tournage de Barbès, Little Algérie en salles ce mercredi."
Brut - 15/10/2024
"Il y a beaucoup de tiroirs dans l'histoire concoctée par Guerrar, dont certains comportent un double fond qu'il a la politesse de laisser deviner plutôt que d'en livrer impudiquement le contenu. L'émotion ressentie n'en est que plus forte. Merci à lui. Et bravo."
Paris Match - 15/10/2024
"Avec ce portrait pétillant d’un coin de Paris, Hassan Guerrar signe son premier long-métrage : un coup d’essai en forme de coup de maître."
Le Figaro - 15/10/2024
"Le premier film d’Hassan Guerrar réussit un portrait de quartier inattendu, à l’écriture très aérée (. . .) Il en ressort une chronique extrêmement libre, très douce, sans enjeu surligné, qui utilise avec intelligence le moment de suspension, de silence désert du confinement, qui projette la ville dans un état de quasi abstraction. Ou peut-être de pièce de théâtre, la bande d’amis se retrouvant pour partager la mloukhiya au milieu des rues vides, semble parfois attendre Godot dans un décor mental."
Les Inrocks - 15/10/2024